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Retrouvez chaque semaine l’essentiel de l’actualité économique et financière dans l'Hebdo des marchés. Un nouveau format, plus court et accessible, pour un rapide tour d’horizon de l’économie et des marchés.
• Si les économies développées bénéficient de fondamentaux internes solides (Etats-Unis) ou en amélioration (zone euro), ce sont maintenant les risques externes* qui retiennent toute l’attention. Le ralentissement des pays émergents et la chute de leurs devises (accélérée après la dévaluation du yuan*) généreront au moins une contagion économique modérée et réduisent de ce fait les perspectives de résultats des entreprises très exposées à l’international.
• Pour vraiment repartir à la hausse, les marchés d’actions ont besoin d’avoir des signes tangibles d’une amélioration de la conjoncture en Chine, d’un signal fort des autorités ou d’une « capitulation » des matières premières et des devises émergentes. Tout cela pourrait prendre plusieurs mois pour se matérialiser. La prudence est donc toujours de rigueur.
• Allemagne : malgré la hausse de la confiance mesurée par l’indice IFO*, les entrepreneurs sont moins optimistes sur le futur. Si elle a été boostée par le progrès positif du plan d’aide grec, la confiance reste refroidie par la croissance plus lente qu’attendue du PIB* allemand au deuxième trimestre, et les inquiétudes au sujet du ralentissement chinois.
• Chine : en abaissant les taux d’intérêts et le taux de réserves obligatoires, la Banque centrale chinoise vise à injecter des liquidités pour renflouer le système afin de supporter l’économie en plein ralentissement, et déprécier sa monnaie. La Banque centrale a non seulement agi en retard, mais aussi, de façon insuffisante pour contrer la fuite de liquidité. Nous pensons donc que la Banque centrale agira de manière beaucoup plus agressive avant la fin de l’année 2015.
• En Grèce, qu’un prêt relais soit nécessaire ou non pour rembourser la Banque centrale européenne, il est probable que le gouvernement et ses créanciers parviendront à s’accorder sur un nouveau plan d’aide. Ses modalités seront, de nouveau, approuvées au Parlement grec, malgré l’opposition d’une partie de la majorité gouvernementale, grâce au soutien des grands partis d’opposition. L’incertitude liée à la Grèce ne s’effacera pas pour autant, compte tenu de la perspective de nouvelles élections (sans doute à l’automne) et du problème de la soutenabilité à long terme de la dette grecque, qui reste entier.
• Les chiffres de l’emploi américain, dans l’ensemble conformes aux attentes, augmentent la probabilité d’une hausse des taux directeurs* par la Réserve fédérale* d’ici la fin de l’année. La date précise de cette hausse (septembre ou décembre) reste, cependant, très incertaine.
• L’économie américaine a surmonté son accès de faiblesse de début 2015, mais une véritable accélération se fait toujours attendre. La Réserve fédérale va probablement procéder à une première hausse de taux directeurs* cette année (en septembre ou en décembre, en fonction des prochains chiffres économiques), mais elle sera ensuite très prudente avant de poursuivre ce mouvement.
• La reprise économique en zone euro semble avoir bien résisté à la crise grecque. L’Espagne se distingue tandis que le comportement des indicateurs du climat des affaires* en Allemagne (un pays très exposé à la dynamique du reste du monde compte tenu de l’importance des exportations pour sa croissance) montre, pour le moment, une bonne résistance au ralentissement des pays émergents.
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