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Retrouvez chaque semaine l’essentiel de l’actualité économique et financière dans l'Hebdo des marchés. Un nouveau format, plus court et accessible, pour un rapide tour d’horizon de l’économie et des marchés.
• Massif avec les 1 100 milliards d’euros déjà prévus, et, surtout, pouvant être porté au-delà de ce montant en cas de besoin, le programme d’achats d’actifs de la Banque centrale européenne annoncé cette semaine constitue une réponse monétaire crédible aux craintes de déflation. Cependant, s’il peut contribuer à une amélioration de la situation économique en zone euro, son pouvoir reste limité pour raviver la demande interne encore très atone. Aussi, l’efficacité d’un tel programme serait démultipliée s’il s’accompagnait d’une évolution des politiques budgétaires faisant moins de place à l’austérité et plus à des investissements productifs. Quelques progrès ont été enregistrés en ce sens au cours des derniers mois, mais ce n’est pas encore suffisant.
• En ce qui concerne les marchés, l’annonce de la Banque Centrale Européenne est très favorable aux actions de la zone euro, qui bénéficieront de la création de liquidités abondantes et du soutien aux résultats apporté par la baisse de l’euro sur le marché des changes.
• Même si le plongeon de l’inflation ce mois-ci est essentiellement dû à la baisse du cours du pétrole, celle-ci ne fait qu’ajouter aux pressions déflationnistes endogènes à la zone euro qui agissaient déjà auparavant. Cette situation accroît la probabilité de l’annonce, par la Banque centrale européenne d’un nouveau programme d’achats d’actifs (incluant potentiellement des emprunts d’Etat), peut-être dès son prochain comité de politique monétaire le 22 janvier.
• Aux Etats-Unis, la reprise se poursuit, même s’il ne faut pas attendre, au cours des prochains trimestres, des chiffres aussi impressionnants que ceux du deuxième et troisième trimestre 2014 (croissance du PIB*de +4,6% et +5,0%, respectivement, en rythme annualisé).
• En Grèce, une victoire de la gauche radicale pourrait rendre particulièrement délicates les négociations avec les bailleurs de fonds internationaux du pays. Il est possible aussi que, faute de majorité suffisante, il soit très difficile de former un gouvernement. Cependant, rappelons que la grande majorité des Grecs (et la majorité du parti Syriza) souhaitent le maintien du pays dans la zone euro. Aussi, un accord reste le scénario le plus probable après d’éventuelles tensions.
• En attendant, il est frappant de constater que, contrairement à la situation qui prévalait en 2011 et 2012, la montée des incertitudes concernant la Grèce n’a, jusqu’à présent, pas généré de contagion aux taux des autres pays périphériques de la zone euro. Au fil du temps, les mécanismes anti-crises construits par la zone euro (action de la Banque centrale européenne, Mécanisme Européen de Stabilité…) sont devenus plus efficaces.
• Aux Etats-Unis, après les très bons chiffres du 3ème trimestre (progression du PIB* de 5%, en rythme annualisé), les premières indications portant sur le 4ème trimestre sont également encourageantes.
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