Découvrez nos offres à durée limitée !
Entreprises, institutionnels & associations > Publications > Hebdo des marchés
Retrouvez chaque semaine l’essentiel de l’actualité économique et financière dans l'Hebdo des marchés. Un nouveau format, plus court et accessible, pour un rapide tour d’horizon de l’économie et des marchés.
• En Grèce, une victoire de la gauche radicale pourrait rendre particulièrement délicates les négociations avec les bailleurs de fonds internationaux du pays. Il est possible aussi que, faute de majorité suffisante, il soit très difficile de former un gouvernement. Cependant, rappelons que la grande majorité des Grecs (et la majorité du parti Syriza) souhaitent le maintien du pays dans la zone euro. Aussi, un accord reste le scénario le plus probable après d’éventuelles tensions.
• En attendant, il est frappant de constater que, contrairement à la situation qui prévalait en 2011 et 2012, la montée des incertitudes concernant la Grèce n’a, jusqu’à présent, pas généré de contagion aux taux des autres pays périphériques de la zone euro. Au fil du temps, les mécanismes anti-crises construits par la zone euro (action de la Banque centrale européenne, Mécanisme Européen de Stabilité…) sont devenus plus efficaces.
• Aux Etats-Unis, après les très bons chiffres du 3ème trimestre (progression du PIB* de 5%, en rythme annualisé), les premières indications portant sur le 4ème trimestre sont également encourageantes.
• En Grèce, la possibilité de trouver la majorité nécessaire, au sein du Parlement, pour élire le Président de la République, n’est pas acquise. En cas d’échec, la constitution prévoit des élections générales anticipées, une éventualité risquée, pour la zone euro, alors que la gauche radicale (Syriza) est en tête des sondages.
• Le prix du baril de pétrole continue de chuter, générant à la fois une baisse des anticipations d’inflation (ce qui pousse les taux d’intérêts encore plus bas) et une pression considérable sur certaines classes d’actifs (actions, dettes ou devises de certains pays émergents, valeurs liées au pétrole). Rappelons cependant que pour la croissance mondiale, et pour la grande majorité des pays développés, cette baisse du pétrole, bénéfique pour la consommation, est avant tout une bonne nouvelle.
• La baisse du prix du pétrole accélère. C’est un facteur positif pour l’économie mondial compte tenu de l’effet favorable qu’il faut en attendre sur la consommation dans les grands pays développés. Cela ne suffira probablement pas, cependant, à extraire par le haut la zone euro de sa trajectoire de croissance très lente. Dans le monde émergents, cette tendance va accentuer les différences de perspectives économiques entre pays consommateurs et producteurs.
• En ce qui concerne les perspectives de politique monétaire, la Banque centrale européenne semble plus que jamais consciente du risquedéflationniste* en zone euro et annoncera, très probablement, des mesures supplémentaires au début de l’année 2015.
Faute de véritable alternative, les marchés d’actions poursuivent leur rebond. Les chiffres d’inflation très bas en
zone euro augmentent la probabilité de nouvelles actions de la part de la Banque centrale européenne. De plus,
la baisse de plus en plus marquée des prix de l’énergie suscite des espoirs de hausse de la consommation des
ménages, notamment aux Etats-Unis. Avec une volatilité des marchés d’actions au plus bas depuis miseptembre,
gare toutefois aux excès d’optimisme.
Ce site n’est pas destiné à l’usage des résidents ou citoyens des Etats Unis d’Amérique et des « U.S. Persons », telle que cette expression est définie par la « Regulation S » de la Securities and Exchange Commission en vertu du U.S. Securities Act de 1933. La définition de « US Person » vous est fournie dans les mentions légales du site. Les produits financiers décrits sur ce site ne sont pas enregistrés au titre de lois fédérales américaines sur les valeurs mobilières ou de toute autre loi applicable dans les états, territoires et possessions des Etats-Unis d’Amérique. Par conséquent, aucun produit financier ne pourra être commercialisé directement ou indirectement aux Etats-Unis (y compris sur ses territoires et possessions) et auprès ou au bénéfice de résidents et citoyens des Etats Unis d’Amérique et de « U.S. Persons ». Cette restriction s’applique également aux résidents et citoyens des Etats Unis d’Amérique et aux « U.S. Persons » susceptibles de visualiser ou d’avoir accès à ce site à l’occasion de voyages ou de séjours hors des Etats-Unis d’Amérique. Si vous êtes une « U.S. Person », retournez sur www.amundi.com.